Ce mercredi 8 juillet, élus et entrepreneurs étaient réunis pour inaugurer un projet de longue haleine et de haute importance pour le développement du territoire : la zone Eurolacq 2.

La création de la zone a été décidée par les élus de la CCL en 2006. A l’époque la zone d’activité Eurolacq était déjà saturée et le foncier à vocation économique se faisait rare. C’est pour répondre aux demandes des porteurs de projet que ce chantier a été lancé. A côté de l’échangeur de l’autoroute, en bordure de la RD 817 et non loin de la gare de marchandise d’Artix, la situation semblait idéale pour favoriser une activité économique diversifiée ; sur ce site qui n’est pas situé en zone PPRT.  Aujourd’hui, au vu du nombre et de la nature des projets que la CCLO reçoit, elle ne regrette pas son choix.

L’aménagement, subventionné par le Conseil départemental et le Conseil régional, à hauteur respectivement de 600 000 et 320 000 €, est aujourd’hui un lieu parfaitement adapté à l’activité économique et ce, dans un environnement agréable, tant au niveau fonctionnel qu’esthétique.
Il témoigne de l’implication de la CCLO dans sa mission de service public au service de l’emploi. En proposant des services publics de qualité et en adéquation avec les besoins et les attentes des ménages, la CCLO installe ainsi des conditions favorables à la création d’emploi. L’aménagement d’Eurolacq 2 en fait partie et permettra aux entreprises qui vont s’y implanter de créer de l’emploi et de la richesse.

Parmi les 6 entreprises sélectionnées pour la réalisation de la zone, 3 entreprises sont issues du territoire de la communauté de communes et deux sont implantées à proximité. La CCLO s’est d’ailleurs engagée auprès de la Fédération Aquitaine du BTP pour lutter contre la concurrence déloyale et pour le respect des droits du travail. Pour cela, la Président Jacques Cassiau-Haurie a récemment signé, avec le Président de la Fédération Aquitaine du BTP, une charte d’engagements des élus locaux « pour soutenir l’investissement public et défendre l’emploi dans les travaux publics ».  Ainsi, malgré un budget contraint, par la baisse des dotations de l’Etat notamment,  la CCLO continuera à faire du développement économique sa priorité.