La crise mondiale sanitaire actuelle bouleverse toute l’organisation économique et aura de fortes incidences sociales, difficiles à quantifier à ce jour. Pierre Nerguararian, Président du GIP Chemparc et Patrice Bernos, Directeur Général, en lien avec les Vice-Présidents du développement économique de la CCLO, ont commencé à recenser les sociétés du bassin de Lacq qui seraient prêtes à participer à des échanges sur cet objectif.

En concertation avec Alain Rousset, le Président de la région Nouvelle Aquitaine, et au-delà des mesures prises pour accompagner les entreprises dans leurs difficultés actuelles, un courriel a été envoyé à ces sociétés. Certaines d’entre elles avaient commencé à réfléchir stratégiquement sur une telle orientation pour des raisons de qualité, de fiabilité et/ou de bilan carbone.  

Les difficultés d’approvisionnement actuelles de produits en provenance des pays asiatiques ne pourront que les renforcer dans cette orientation nouvelle. Le bassin de Lacq est candidat pour accueillir ces nouveaux développements.

Les projets de relocalisation seront examinés avec une attention particulière par les élus de la CCLO, les pouvoirs publics régionaux et nationaux. Des infrastructures industrielles et publiques adaptées existent et peuvent immédiatement accueillir de nouvelles implantations.